lundi 7 juillet 2008

news letter 1: 6 juin

coucou les loulous,

me voilà en Allemagne en attendant le vol pour Denver. J’ai déjà eu droit à beaucoup d’émotions organisationnelles !
Après que maman m’ai laissée en gare TGV de Reims pour un trajet direct vers l’aéroport CDG, je trouve difficilement la direction du terminal 1 qui est évidemment celui qui est le plus loin de la gare… Alors que j’ai moins de 2h d’avance !
Arrivée au terminal 1, tout est bloqué, les « beaux et musclés » militaires sont benêts et ne savent pas indiquer le chemin qu’il faut faire, ils ne savent que bloquer tous les escalators et ascenseurs. Je me retrouve donc dans un escalier en colimaçon avec ma grosse valise de 30Kg, mon sac à dos de 10Kg, mon ordi et mon sac à main : que du bonheurs, avec seulement 1h30 d’avance….
En haut, on a droit à plus d’informations : le hall 4, le mien évidemment !, est bloqué à cause de valises abandonnées : nous devons donc redescendre avec les bagages, ce serait pas marrant sinon, l’escalier en colimaçon pour faire la queue sur 2 guichets….
Après une longue attente, c’est enfin mon tour avec un nouveau gag : j’ai bien le droit d’embarquer 2 sacs mais il ne doivent pas dépasser, chacun, 23Kg sous peine de 50euros en plus… Me voilà donc en train de changer la bouteille de champagne, les fringues en vracs, les chaussures de rando pour les tasser dans mon sac à dos : du bonheur ! Et le temps passe…
Bonne nouvelles : mes bagages sont enregistrés jusque Pierre (ma destination, je sais ça ne ressemble à rien, peut-être plus de description de ce magnifique patelin de 15 000 âmes dans un prochain numéro)
J’arrive donc pour passer le truc où l’on vérifie les bagages à mains avec une longue queue (ce ne serait pas marrant sinon) et même pas 20 min d’avance (l’embarquement est déjà commencé). Je fais donc la queue consciencieusement et à 3 personnes avant la fin de mon calvaire, un monsieur me double pour attraper le même vol que moi : pas gêné ! je lui emboîte quand même le pas étant donné qu’on appel mon nom pour l’embarquement… Je n’ai que le temps d’enlever ma ceinture et je saute dans l’avion à moitié débraillée (une vrai pouilleuse, oui maman !!!) L’histoire s’arrête maintenant dans l’aéroport de Frankfort où, contrairement à ce que pensait maman, ils ne parlent pas chinois mais allemand, je sais ça peut surprendre.

Pour les photos du coucou allant de Denver à Pierre, demandez-moi la news-letter (PDF)... ça vaut le coup, il y a mm des photos d'art... Ou pas!

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